Murmures
Juifs, Arabes: à chacun son festival?
octobre 2014 | Faits de société | Cinéma/TV | Belgique
Source : Lavenir.net
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Après le FIFF en Wallonie et le festival de Gand en Flandre, deux festivals à la thématique bien précise se succèdent dans la capitale: le Festival du film arabe et le Festival du film juif. Hasard du calendrier ou coïncidence cocasse? On a voulu en savoir plus. Rencontre avec Rachida Chbani et Béatrice Godlewicz, respectivement directrices du premier et du second.
C’est quoi, c’est qui?
Rachida Chbani: Aflam du Sud est la continuation du Festival du Cinéma Arabe, né en 2006 dans le but de valoriser la richesse d’un cinéma arabe. Après la disparition de l’ASBL qui l’organisait, j’en ai repris la direction en 2011.
Béatrice Godlewicz: Lancé en 1989 sous l’égide de l’ASBL IMAJ (Institut de la Mémoire Audiovisuelle Juive), le Brussels Jewish International Film Festival veut valoriser les différentes facettes de l’identité juive, via des films primés internationalement et des jeunes talents méconnus du grand public.
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C’est quoi, c’est qui?
Rachida Chbani: Aflam du Sud est la continuation du Festival du Cinéma Arabe, né en 2006 dans le but de valoriser la richesse d’un cinéma arabe. Après la disparition de l’ASBL qui l’organisait, j’en ai repris la direction en 2011.
Béatrice Godlewicz: Lancé en 1989 sous l’égide de l’ASBL IMAJ (Institut de la Mémoire Audiovisuelle Juive), le Brussels Jewish International Film Festival veut valoriser les différentes facettes de l’identité juive, via des films primés internationalement et des jeunes talents méconnus du grand public.
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