Murmures
Pokou. Quand l’Afrique se lance dans le cinéma d’animation en 3D
juillet 2013 | Sortie de film, livre, album… | Cinéma/TV | Côte d’Ivoire
Source : Ouest-France
Français
par Aurélie Fontaine /// Ouest-France
La semaine dernière, à Abidjan, l’équipe de dix personnes du studio ivoirien Afrika Toon a présenté le premier long-métrage d’animation en 3D réalisé en Afrique de l’ouest.
Côtes d'Ivoire. Premier film d'animation… par OuestFranceFR
Pokou, c’est l’histoire d’une prêtresse guidant son peuple vers de nouvelles terres. Fuyant le Ghana actuel pour éviter une guerre, elle et son peuple s’exilent vers ce qui deviendra plus tard la Côte d’Ivoire. Avant cela, Pokou est confrontée à toutes sortes d’intrigues, à base de sorcellerie et de trahison.
La légende de Pokou, princesse Ashanti du XVIIIe siècle, est une histoire que l’on retrouve dans les manuels scolaires ivoiriens et que les parents content à leurs enfants.
Nos propres histoires à nos enfants
« Il est temps qu’on relate nos propres histoires à nos enfants », explique Lassane Zohoré, le producteur de ce dessin-animé, avant d’ajouter que si « le film est basé sur la légende de Pokou, nous avons pris la liberté de le rendre plus convivial et humoristique pour que ce soit accessible à tous ».
Et dans la salle de cinéma, quelques scènes ont particulièrement fait rire.
LIRE L’INTEGRALITE sur Ouest-France
Côtes d'Ivoire. Premier film d'animation… par OuestFranceFR
Pokou, c’est l’histoire d’une prêtresse guidant son peuple vers de nouvelles terres. Fuyant le Ghana actuel pour éviter une guerre, elle et son peuple s’exilent vers ce qui deviendra plus tard la Côte d’Ivoire. Avant cela, Pokou est confrontée à toutes sortes d’intrigues, à base de sorcellerie et de trahison.
La légende de Pokou, princesse Ashanti du XVIIIe siècle, est une histoire que l’on retrouve dans les manuels scolaires ivoiriens et que les parents content à leurs enfants.
Nos propres histoires à nos enfants
« Il est temps qu’on relate nos propres histoires à nos enfants », explique Lassane Zohoré, le producteur de ce dessin-animé, avant d’ajouter que si « le film est basé sur la légende de Pokou, nous avons pris la liberté de le rendre plus convivial et humoristique pour que ce soit accessible à tous ».
Et dans la salle de cinéma, quelques scènes ont particulièrement fait rire.
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