Willy Alante-Lima offre aux lecteurs une chronique de l’île de Monrire accompagnée de quelques histoires brèves qui ont pour thème cette île non signalée par quelque atlas ou portulan connu. Dans la galerie de portraits où se côtoient citadins et campagnards, défile une humanité cocasse autant que singulière : leurs bons mots, la véhémence de leurs sentiments et de leurs comportements comme leur mégalomanie extraordinaire les circonscrivent à merveille.