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Déchirures nous raconte Haïti à travers les yeux d’une narratrice forcée de fuir, déchirée entre l’amour
qu’elle porte aux siens et l’horreur quotidienne d’un pays qui a perdu la tête.
Format : 13,5 x 16,5 cm
Brochés, cahiers cousus, couverture à rabats, pelliculage mat.
Conception de la couverture : Thierry Cauwet
Résumé : L’exil déchirant et nécessaire d’une jeune fille forcée de quitter Haïti.
Extrait : « Souvent j’étouffe. J’ai envie de crier. De hurler. Une voix étrange m’incite à la prudence.
L’amour, la haine, la folie, le crime, l’égoïsme et la peur s’entremêlent dans une chorégraphie morbide. Un ballet macabre et érotique avec des figures instables, des formes évanescentes. Une infinité de corps déchiquetés. Un tourbillon d’objets hétéroclites insaisissables. Un univers en perdition dans un espace indéfini. Les souvenirs, les illusions et les regrets vont et viennent, s’entrelacent au fond de moi, tandis que je marche en sautillant sur un tapis moelleux. »
Citation presse : « La lecture du dernier ouvrage de cette écrivaine suffit à elle seule pour plonger dans l’insoutenable déclin de l’île montagneuse. »
« Marie-André Manuel Étienne : Haïti douleur », Amina, juillet 2002.
« Déchirures est un livre sans chapitres. Des changements de caractères évitent la monotonie de la présentation et surtout permettent de changer de temps, d’états d’âmes ou d’événements : les uns réels, historiques, d’autres intérieurs, … d’innombrables déchirures. »
Odette Roy Fombrun, octobre 2001.