Fiche Livre
Littérature / édition
NOUVELLES | Janvier 2013
Dis que tu es un des leurs
Uwem Akpan
Edition : Books éditions
Pays d’édition : France
ISBN : 978-2-36608-020-9
Pages: 384
Prix : 21.00
Parution : 29 Janvier 2013

Français

Cinq histoires en forme d’hommage à la sagesse des enfants, à leur résilience lorsqu’ils sont confrontés aux circonstances les plus terribles.

Une famille vivant dans un bidonville de Nairobi s’affère pour trouver des cadeaux à l’approche de Noël. Une jeune fille rwandaise raconte le combat de ses parents pour maintenir les apparences de la normalité, alors que plane, grandissante, la menace du génocide. Au Gabon, Kotchikpa, 10 ans, et sa petite sœur, sont laissés à la garde de leur oncle Fofo, qui tente de les vendre comme esclaves. Deux amies d’enfance sont les otages d’un conflit religieux en Éthiopie. À bord d’un bus rempli de réfugiés – microcosme de l’Afrique d’aujourd’hui -, un garçon musulman compte sur sa foi pour réussir une dangereuse traversée du Nigéria.

La prose d’Akpan décrit avec force et empathie la sombre condition de ces enfants d’Afrique, leurs difficultés et leurs visions du futur.

Uwem Akpan est né et a grandi au Nigéria, où il a été ordonné prêtre en 2003. Dis que tu es des leurs est son premier ouvrage. Il a été publié aux États-Unis après avoir remporté le prix Caine. Sa sélection en 2009 par Oprah Winfrey sur la liste de ses lectures favorites l’a propulsé en tête de la liste des bestsellers.

« Un premier recueil éblouissant(…) [Uwem Akpan] rend palpable la pauvreté et les conflits de l’Afrique grâce à un remarquable sens de la narration. Il distille, à travers les yeux grands ouverts de ses jeunes héros, des contes de l’horreur ordinaire. » (Janet Maslin, New York Times)

« Ce n’est pas simplement son sujet qui rend l’écriture d’Akpan à la fois extraordinaire et horrifiante ; c’est son talent pour la métaphore, sa capacité à se mettre dans la peau de ses personnages. Uwen Akpan a rendu leurs voix à ces enfants. Son empathie et son génie littéraire m’ont transformé. Je lui en suis reconnaissante. » (Susan Straight, Washington Post)
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