Kasse Mady Diabaté – Daniel Lavoie & Laurent Guardo
Festival Aah! Les Déferlantes! (Festival de chansons et musiques francophones)
© Manuel Lagos Cid / Molina Visuals
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Kassé Mady Diabaté
La musique de ce projet se place dans la lignée de la nouvelle scène de Bamako.
Une voix à la profondeur veloutée, celle de Kassé Mady Diabaté et trois musiciens de la grande tradition mandingue.
Un spectacle intimiste, proche du son acoustique de la tradition qui privilégie une formation réduite où les musiciens déversent tout leur art dans un jeu aisé et libéré.
Daniel Lavoie & Laurent Guardo
« Je me suis lancé dans cette musique inclassable, justement parce qu’elle est particulière… Ce n’est pas des pièces conventionnelles, ce n’est pas de la pop ou de la pure musique ancienne, ce n’est pas totalement du contemporain, les harmonies sont jazz à l’os… »
Habitué à s’immiscer dans l’oeuvre d’un autre avec justesse et sensibilité, Daniel Lavoie plonge ici dans l’univers baroque et médiéval du musicien classique Laurent Guardo. Les violes de gambe croisent les tablas, le dobro les gongs tibétains. En résulte une facture musicale onirique, captivante, à l’écart des sentiers battus de la pop avec sa poésie, son absence de refrain et ses pièces dépassant les six minutes. Un projet singulier, une oeuvre moderne portée par la ferveur de la voix de Daniel Lavoie qui lui donne corps à la façon d’un magicien qui d’un ample mouvement de sa cape noire, nous emmène dans l’allée sombre de la forêt…
La musique de ce projet se place dans la lignée de la nouvelle scène de Bamako.
Une voix à la profondeur veloutée, celle de Kassé Mady Diabaté et trois musiciens de la grande tradition mandingue.
Un spectacle intimiste, proche du son acoustique de la tradition qui privilégie une formation réduite où les musiciens déversent tout leur art dans un jeu aisé et libéré.
Daniel Lavoie & Laurent Guardo
« Je me suis lancé dans cette musique inclassable, justement parce qu’elle est particulière… Ce n’est pas des pièces conventionnelles, ce n’est pas de la pop ou de la pure musique ancienne, ce n’est pas totalement du contemporain, les harmonies sont jazz à l’os… »
Habitué à s’immiscer dans l’oeuvre d’un autre avec justesse et sensibilité, Daniel Lavoie plonge ici dans l’univers baroque et médiéval du musicien classique Laurent Guardo. Les violes de gambe croisent les tablas, le dobro les gongs tibétains. En résulte une facture musicale onirique, captivante, à l’écart des sentiers battus de la pop avec sa poésie, son absence de refrain et ses pièces dépassant les six minutes. Un projet singulier, une oeuvre moderne portée par la ferveur de la voix de Daniel Lavoie qui lui donne corps à la façon d’un magicien qui d’un ample mouvement de sa cape noire, nous emmène dans l’allée sombre de la forêt…
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