Comme un cri
Adapté de Souviens-toi du Joola de Patrice Auvray, aux Editions Globophile
©
Représentation
du 03 au 21 Mars 2015
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Théâtre
Théâtre des Déchargeurs – 3, rue des Déchargeurs, 75001 Paris – France
Représentations du mardi 3 mars au samedi 21 mars à 19h30
(voir théâtre au 01 42 36 00 50)
Français
Le 26 septembre 2002 sombrait le Joola au large des côtes de la Gambie, faisant plus de 2000 victimes. Patrice Auvray, l’un des 64 rescapés du naufrage a mis 10 ans pour en écrire le récit le plus fidèle possible.
Il nous livre un texte « Souviens-toi du Joola » empreint d’humilité. Un récit à la fois poignant par son concret et aberrant par ce qu’il dénonce.
L’adaptation de son récit en un monologue théâtral met en lumière le difficile, mais indispensable travail de mémoire. Comment témoigner de l’indicible ? de ce qu’on ne doit pas entendre ? de ce qui dérange ? comment dire… ?
Le comédien déambule dans un espace flottant, blanc, irréel. « Suis-je seulement vraiment là ? »
Rien ne semble exister. Pourtant, tout est vrai.
La musique du spectacle s’articule autour du même thème qui revient mais toujours déformé, trituré. Les ambiances y sont lyriques, sombres ou rugueuses, et viennent interférer avec le réel.
Mise en scène Amélie Armao
avec Jean-Christian Leroy
musique Jean-Nicolas Mathieu
lumière Francis Petit
Il nous livre un texte « Souviens-toi du Joola » empreint d’humilité. Un récit à la fois poignant par son concret et aberrant par ce qu’il dénonce.
L’adaptation de son récit en un monologue théâtral met en lumière le difficile, mais indispensable travail de mémoire. Comment témoigner de l’indicible ? de ce qu’on ne doit pas entendre ? de ce qui dérange ? comment dire… ?
Le comédien déambule dans un espace flottant, blanc, irréel. « Suis-je seulement vraiment là ? »
Rien ne semble exister. Pourtant, tout est vrai.
La musique du spectacle s’articule autour du même thème qui revient mais toujours déformé, trituré. Les ambiances y sont lyriques, sombres ou rugueuses, et viennent interférer avec le réel.
Mise en scène Amélie Armao
avec Jean-Christian Leroy
musique Jean-Nicolas Mathieu
lumière Francis Petit
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