LOIN DU NIGER
Sani, Seyni et Placid, deux nigériens et un français, trois peintres et amis.
Présentation de l’album de Sani – Un guerrier Dendi – publié à l’Harmatan BD ; tableaux de Seyni Hima ; gouaches, bic et aquarelles de Placid.
Exposition
du 16 au 27 Mai 2013
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Arts plastiques, Littérature / édition, BD, Artisanat d’art
galerie jasuka – dans la cour du 11 rue Jacob, 75006 paris – France
Français
Trois peintres se sont retrouvés un jour à Niamey: Sani, Seyni, Placid.
Sani est l’auteur de la première BD nigérienne qui vient d’être éditée en France (Un guerrier Dendi, publié à l’Harmattan dans la collection BD dirigée par Christophe Cassiau-Haurie); Seyni Hima, un peintre naïf déjà plusieurs fois exposé à la galerie Jasuka; Placid, un dessinateur et peintre parisien.
Placid a rencontré Sani à Niamey, ils ont dessiné et peint ensemble pendant quelques semaines; Seyni et Sani se sont retrouvés dans le même refuge-atelier, après que de violentes inondations aient liquéfié leurs maisons de banco et détruit plusieurs de leurs oeuvres.
Sani rêve de voir un jour Paris et la tour Eiffel, Seyni la rivière bretonne où il a peint des arbres à perte de vue, Placid garde l’image vive et précise des marchés et du pont sur le Niger. Tous auraient aimé se retrouver à la galerie, mais le Niger est loin, plus loin encore depuis quelque temps…
Les tableaux, dessins, aquarelles et planches de BD de ces trois artistes expriment la vie, le rêve, la nostalgie d’une autre rive.
Sani est l’auteur de la première BD nigérienne qui vient d’être éditée en France (Un guerrier Dendi, publié à l’Harmattan dans la collection BD dirigée par Christophe Cassiau-Haurie); Seyni Hima, un peintre naïf déjà plusieurs fois exposé à la galerie Jasuka; Placid, un dessinateur et peintre parisien.
Placid a rencontré Sani à Niamey, ils ont dessiné et peint ensemble pendant quelques semaines; Seyni et Sani se sont retrouvés dans le même refuge-atelier, après que de violentes inondations aient liquéfié leurs maisons de banco et détruit plusieurs de leurs oeuvres.
Sani rêve de voir un jour Paris et la tour Eiffel, Seyni la rivière bretonne où il a peint des arbres à perte de vue, Placid garde l’image vive et précise des marchés et du pont sur le Niger. Tous auraient aimé se retrouver à la galerie, mais le Niger est loin, plus loin encore depuis quelque temps…
Les tableaux, dessins, aquarelles et planches de BD de ces trois artistes expriment la vie, le rêve, la nostalgie d’une autre rive.
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