Rencontre dessinée – BD Sud Africaine
Au lendemain du Festival de la bande dessinée d’Angoulême, la Bpi profite de la venue de quatre auteurs sud-africains en France et les accueille au Centre Pompidou pour une soirée incontournable.
Débat
Le 02 Février 2009
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
BD
Centre Pompidou – Place Georges Pompidou, 75004 Paris – France
19h – Entrée libre dans la limite des places disponibles
Français
Cet événement, car c’est aussi une première, réunira donc un quatuor tout droit venu d’Afrique du Sud : Karlien de Villiers, Joe Daly, Joe Dog et Conrad Botes, tous impliqués
dans le collectif d’auteurs qui anime, en Afrique du Sud, la revue Bitterkomix.
Leur démarche commune, novatrice, radicale et souvent ironique, est particulièrement intéressante en ce qu’elle s’inscrit dans un environnement socio-politique très particulier ; celui de l’Afrique du Sud de l’après-apartheid, cette » nation arc-en-ciel » dont le quotidien demeure parcouru de vives tensions. Tous les auteurs de Bitterkomix (littéralement » la bande dessinée
amère « , une promesse programmatique on ne peut plus explicite) rendent compte par leur
travail, chacun dans son registre et parfois de façon très détournée, de cette réalité complexe et
exigeante.
Rencontre animée par Romain Brethes, journaliste à Chronic’art et au journal Le Point
dans le collectif d’auteurs qui anime, en Afrique du Sud, la revue Bitterkomix.
Leur démarche commune, novatrice, radicale et souvent ironique, est particulièrement intéressante en ce qu’elle s’inscrit dans un environnement socio-politique très particulier ; celui de l’Afrique du Sud de l’après-apartheid, cette » nation arc-en-ciel » dont le quotidien demeure parcouru de vives tensions. Tous les auteurs de Bitterkomix (littéralement » la bande dessinée
amère « , une promesse programmatique on ne peut plus explicite) rendent compte par leur
travail, chacun dans son registre et parfois de façon très détournée, de cette réalité complexe et
exigeante.
Rencontre animée par Romain Brethes, journaliste à Chronic’art et au journal Le Point
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