Pour fêter le Ramadan, rupture du jeûne avec le chaâbi algérois de Kamel El Harrachi
Salons de musique, après-midi musical et master class
Rencontre/réunion
Le 27 Septembre 2008
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Musée du quai Branly – 37 quai Branly, 75007 Paris – France
A 18h
Français
(Algérie)
C’est dans les dédales de la casbah d’Alger, pendant la colonisation française, qu’est né le genre chaâbi. Art des rues, des faubourgs et du quotidien, il s’inspire aussi de la poésie orale héritée des qasidas et autres épopées bédouines. Car, même s’il est festif et dansant, ce « blues algérois » raconte la vie d’hier et l’actualité d’aujourd’hui. Joueur de mandole, Kamel El Harrachi est le fils du grand Abderrahmane Amrani, dit « El Harrachi », dont il perpétue la mémoire. Il est l’auteur du titre « Ya Rayah », réadapté par Rachid Taha.
C’est dans les dédales de la casbah d’Alger, pendant la colonisation française, qu’est né le genre chaâbi. Art des rues, des faubourgs et du quotidien, il s’inspire aussi de la poésie orale héritée des qasidas et autres épopées bédouines. Car, même s’il est festif et dansant, ce « blues algérois » raconte la vie d’hier et l’actualité d’aujourd’hui. Joueur de mandole, Kamel El Harrachi est le fils du grand Abderrahmane Amrani, dit « El Harrachi », dont il perpétue la mémoire. Il est l’auteur du titre « Ya Rayah », réadapté par Rachid Taha.
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