L’ACB Ouvre les Guillemets autour du thème de l’écriture kabyle
avec Shamy : « La fiancée du soleil » (Harmattan) et M.A. Kheffach : « Une enfance kabyle pendant la guerre d’Algérie de 1955 à 1958 (Harmattan)
Rencontre/réunion
Le 05 Avril 2006
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Littérature / édition
Association de Culture Berbère (ACB) – 37 bis rue des Maronites, 75020 Paris –
Français
19 h à l’ACB
Le roman de Shamy Chemini, La fiancée du soleil, relate le retour d’une jeune fille, Lundja, dans son village natal, en Kabylie. L’enchantement des premières années décline au rythme de la mutation du corps d’adolescente de Lundja en celui de jeune femme. Projetée sans ménagement dans le monde clos des femmes, elle découvre la détresse des milliers de jeunes filles condamnées au célibat et à une soumission servile. Révoltée, Lundja décide de se battre contre les coutumes imposées par les hommes
Dans chaque guerre, manquent les yeux des enfants. Ici surgit un témoignage d’une grande rareté. Un Kabyle se souvient de son enfance durant la guerre d’Algérie. Un enfant vit toujours les événements de la guerre avec un décalage naturel. Des faits mineurs prennent une importance démesurée mais leur sens n’apparaîtra que plus tard. L’Algérie prend soudain un autre visage, celui de la richesse d’une pensée devenue si nécessaire à notre monde.
Soirée animée par Arezki Metref
Le roman de Shamy Chemini, La fiancée du soleil, relate le retour d’une jeune fille, Lundja, dans son village natal, en Kabylie. L’enchantement des premières années décline au rythme de la mutation du corps d’adolescente de Lundja en celui de jeune femme. Projetée sans ménagement dans le monde clos des femmes, elle découvre la détresse des milliers de jeunes filles condamnées au célibat et à une soumission servile. Révoltée, Lundja décide de se battre contre les coutumes imposées par les hommes
Dans chaque guerre, manquent les yeux des enfants. Ici surgit un témoignage d’une grande rareté. Un Kabyle se souvient de son enfance durant la guerre d’Algérie. Un enfant vit toujours les événements de la guerre avec un décalage naturel. Des faits mineurs prennent une importance démesurée mais leur sens n’apparaîtra que plus tard. L’Algérie prend soudain un autre visage, celui de la richesse d’une pensée devenue si nécessaire à notre monde.
Soirée animée par Arezki Metref
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